PENDANT UNE GRANDE PARTIE de ma carrière, j’ai été un ardent défenseur des mises en page non fixes. Flexible ou complètement fluide, cela n’avait pas d’importance : je sentais que le fait d’intégrer une certaine dose de fluidité dans nos designs les préparait mieux aux changements inhérents au Web : changements de la taille du navigateur, de l’écran ou de la résolution des appareils. De plus, j’utilisais souvent des expressions comme « à l’épreuve de l’avenir » ou « tous terminaux confondus » pour parler de ce besoin de flexibilité. Souvent seul dans mon coin.
Mais à un certain stade, tout se brise.
Notre site Robot or Not a beau être flexible, ...